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Arrêt des immunosuppresseurs chez les patients porteurs d'une SEP âgés de plus de 50 ans

 

Dr Anne Kerbrat / Pr Nicolas Collongues

Promoteur : CHU de Rennes / Hôpitaux Universitaires de Strasbourg
Financement : NA
Type d'étude : Rétrospective
Données en plus de la FMO : Non
Étude dérivée de : NA
État d'avancement : Terminée
Inclusion et suivi : NA
Début des inclusions : NA
Fin du suivi : NA

CONTEXTE - Les études disponibles dans la littérature ont clairement montré un risque de reprise de l’activité inflammatoire focale, voire de rebond de la maladie après l’arrêt du natalizumab et du fingolimod chez les patients jeunes ayant une sclérose en plaques (SEP). Peu d’études existent concernant les anti-CD20, d’utilisation plus récente. Ces différentes études n’ont cependant pas ciblé les patients plus âgés, ayant habituellement une moindre activité inflammatoire focale. A ce jour, aucune recommandation n’est donc disponible concernant l’arrêt des immunosuppresseurs chez les patients SEP plus âgés et non actifs. De plus, le rapport bénéfice - risque de ces traitements se modifie avec l’âge et l’évolution de la maladie.

OBJECTIFS - L’objectif principal de cette étude est d'évaluer le risque de reprise d’une activité inflammatoire de la maladie (clinique et/ou IRM) après l’arrêt du natalizumab, fingolimod, rituximab ou ocrelizumab en comparant rétrospectivement deux populations de patients âgés de plus de 50 ans ayant une SEP (groupe arrêt de traitement et groupe poursuite). L'objectif secondaire vise à identifier les facteurs associés à une reprise inflammatoire après l’arrêt du traitement.

RÉSULTATS ATTENDUS - Le résultat attendu est une meilleure connaissance des risques de réactivation de la maladie encourus par les patients âgés de plus de 50 ans suite à l’arrêt d’un immunosuppresseur et donc de guider le clinicien dans la prise en charge de ces patients

 

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